Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, L’Épouse Hypersexuelle (4) : Un Couple Pas Comme Les Autres.

Cette première nuit avec Philippe allait influencer ma vie plus que je ne l’imaginais alors. Quelque chose avait changé : j’étais amoureuse, j’avais rencontré celui avec qui je voulais partager ma vie. Pour la première fois, un homme ne me considérait pas uniquement ou principalement comme un objet de plaisir, une femelle insatiable qu’il fallait satisfaire, mais une femme que Philippe adorait, à qui il donnait à chaque moment les preuves d’un amour sans limites.
Je me disais qu’après toutes ces années de vie sexuelle débridée, de plaisirs sans limites, il était temps de me « caser », de m’assagir. Je me devais d’être fidèle à un tel homme, et puis tant pis si sa queue ne m’apportait pas autant de plaisir que les amants vigoureux que j’avais collectionnés. Sa tendresse, ses baisers, ses lèvres sur mon corps, devaient, pensais-je, me suffire.
Avec Philippe, je connaissais le plaisir, certes sous d’autres formes que le coït « classique »
Nous pratiquions régulièrement le fist-fucking et mon chéri était devenu un expert. Après une longue préparation avec des godes, je lui ai même demandé de me fister l’anus. Ce fut douloureux, mais j’avais trouvé auprès de lui un autre moyen de jouir, chassant ma frustration de ne pas être remplie par un mâle vigoureux.
Aussi incroyable que cela puisse paraître, je décidais, à partir de là, d’être fidèle, de ne plus fréquenter d’autres hommes et même d’avoir des relations saphiques. J’étais à Philippe et rien qu’à Philippe.
Dans les réunions que je continuais à fréquenter, mes collègues ne comprenaient pas ma transformation. Philippe avait changé d’affectation, j’étais donc seule, même s’il venait, à chaque fois qu’il le pouvait, me rejoindre. Je m’habillais désormais de façon très classique, réservant à mon homme le port de mes tenues sexy qui le rendaient fou de désir. Je repoussais les sollicitations des autres. Quelquefois ça s’est mal passé, comme avec Hans, mon collègue allemand, particulièrement bien membré et qui, quelques mois auparavant m’avait traité comme une pute, me faisant sortir de réunion en posant une main sur mes fesses en signe de possession, avant de me conduire aux toilettes hommes où mes hurlements de plaisir s’entendirent jusque dans la salle.


Hans tenta de me coincer lors d’une interruption de séance, en m’entrainant de force dans un coin reculé.
• Olga, ça suffit maintenant. Tu joues à quoi ? Ne me dis pas que Philippe te satisfait ou qu’il te suffise ! Allez, laisse toi faire, on va le faire cocu !
• Laisse-moi !
• Pas tant que je ne t’aurai pas sauté, petite putain !
Il se mit à ouvrir mon chemisier, à passer sa main sous ma jupe.
• Depuis quand tu portes un soutif et une culotte ?
Il se mit à caresser mes seins, et enfonça un doigt dans ma chatte.
• Je savais que tu avais envie, tu mouilles ! Il suffit de te forcer un peu et tu cèdes à l’appel du mâle.
Il prit ma main : « Touche, je sais que ça te fait envie, je vais te baiser ici, te faire hurler que chacun sache que tu es toujours la bonne salope que nous adorons »
J’étais sur le point de céder, mais au dernier moment, je l’ai violement repoussé, lui assénant un violent coup de genoux dans les parties sensibles. Je me suis enfouie vers ma chambre, poursuivie par ses injures. Je me suis réfugié dans ma chambre, en proie à une crise de larmes, que j’ai calmée en me godant jusqu’à me faire jouir, regrettant de n’avoir pas cédé à l’appel du mâle.
C’est d’autant plus dur que Philippe et moi nous ne vivions pas ensemble, car je voulais avoir l’ancienneté minimale dans mon poste pour prendre un congé sans solde, avant de me marier et de rejoindre Philippe en France.
Cette période a duré plus de deux ans et elle fut dure. J’ai souvent eu la tentation de craquer, mais je résistais. Pour être honnête, pour me calmer, je devais me masturber plusieurs fois dans la journée. Le soir, à la maison, je me godais violemment avec des engins de belle taille et je regardais des films hard, où j’imaginais que j’étais à la place de ces femmes qui jouissaient sous l’assaut de mâles vigoureux. C’était d’autant plus dur que nous faisions souvent l’amour au téléphone avec Philippe et il évoquait des moments torrides, imaginant des mâles qui me baisaient comme une chienne.

Ce projet de devenir une épouse sage, fidèle, était une folie de la part d’une hypersexuelle. Il aurait peut-être réussi avec un autre compagnon. Mais c’est celui-là que j’avais choisi et je ne le regrette pas.
Philippe m’a en effet très rapidement dévoilé son candaulisme, ce qui voulait dire que son grand fantasme était de voir la femme qu’il aime avoir du plaisir avec un autre homme. Il n’avait pas non plus caché qu’il avait échoué avec ses deux précédentes compagnes : Flavienne avait bien fini par prendre un amant, mais elle était partie avec lui et n’avait jamais permis à Philippe d’assister à ses ébats. Quant à Patricia, choquée par l’insistance de son compagnon qu’elle prenait pour une perversité, elle l’avait quitté également.
Je me suis souvent demandé si Philippe n’avait pas été attiré par mon hypersexualité, persuadé qu’avec moi ce serait plus facile. Il m’a toujours juré que non et je dois dire que je l’ai fait attendre longtemps, près de 7 ans, avant de satisfaire son fantasme. C’est une longue histoire, patience je compte raconter chacune des étapes qui nous y ont conduits.
J’ai très vite expliqué à Philippe que je voulais me « ranger », tourner le dos à mon passé, devenir une épouse sage, modèle, mener une vie de couple normale et que c’est lui que j’avais choisi pour cela.
Il n’a montré aucune déception. Peut-être se disait-il que ma nature finirait par emporter mes bonnes résolutions d’épouse fidèle.
• Ma chérie, tout ce que je veux, c’est que tu sois heureuse. Jamais je ne t’obligerai à rien. Je veux seulement que tu saches que mon amour est absolu, qu’il n’est pas exclusif. Tu es entièrement libre, y compris quand nous serons mariés. Libre d’avoir des amants ou des maîtresses. J’aimerais seulement qu’on se dise tout et comme tu sais, mon rêve serait de te voir jouir devant moi.
• Philippe, je n’ai pas besoin de ça, tu me suffis, mon amour.
• Olga, je sais que je ne te donne tout le plaisir que tu mérites.
Ma bite, sans être ridicule, n’a pas la taille de ce que tu aimes, je sais que tu préfères être bien remplie. Et aussi baisée longtemps, alors que moi, bien souvent, je jouis trop vite, tellement je suis excité par toi.
• Mon chéri, arrête de te r. Tu es mon mari, je t’aime. Aucun homme n’est plus tendre que toi, ne s’est plus préoccupé de mon plaisir. Tu me rends folle quand tu me couvres de baisers, de caresses. Tu me tues quand tu bouffes ma chatte et encore plus quand tu me fistes. Quant à ta queue, j’ai toujours envie d’elle, je ne me lasse pas de te sucer et d’avaler ton nectar. Tu m’encules sans aucune douleur et j’adore ça. Et je sais que c’est cette queue qui me fécondera, je porterai tes s. Allez, arrête de dire des bêtises et viens honorer ta femme, mets la moi en levrette, bien profond, je suis une femelle, TA femelle.
• Oh Olga, oui, je t’aime !
• Oui, Philippe, comme ça mon chéri, c’est bien. Je sens tes couilles bien lourdes qui tapent contre mes fesses. Quand tu le voudras, j’arrêterai la pilule, j’ai tant envie que tu me fécondes !
• Oh ouiiiiiiiiiiii
Et ce qui devait arriver se produisait, il m’envoyait de puissantes giclées dans le con, alors que moi je n’avais pas encore joui. Ca me laissait terriblement frustrée, j’étais partagée entre colère et chagrin. Je ne le montrais pas. Alors qu’il était effondré, honteux et demandait pardon, je le rassurais, le calmais, me montrais tendre et amoureuse.
• Ce n’est rien, tu étais très excité mon chéri. Viens me lécher petit cochon, viens me nettoyer. Oui, comme ça. Tu sais que tu es doué ! Hum, viens m’embrasser que tu partages avec moi ta semence !
Je me suis mise aussi à le branler et à le sucer pour qu’il rebande. Pas pour qu’il me prenne à nouveau, mais parce que je voulais qu’il se vide à nouveau les couilles, mais cette fois dans ma bouche. Je branlais alors mon bouton et mes doigts fouillaient mon intimité.
• Je vais t’offrir mon plaisir, mon Philippe.
Regarde comme ma chatte est trempée, comme elle est béante
• Olga, c’est si beau. Comme j’aimerai qu’un mâle puissant soit là et qu’il te baise comme la salope que tu es !
• Mon vicieux, c’est de toi que j’ai envie, de personne d’autre. Branle toi en même temps et, quand tu es prêt, viens et vide toi dans ma bouche, tu sais que j’aime ça boire ton foutre !
Car en effet je suçais Philippe à chaque fois que l’occasion se présentait et, si possible, plusieurs fois par jour, jusqu’à ce qu’il se vide dans ma bouche. Beaucoup de femmes n’aiment pas ça, moi j’adore le sperme, surtout celui de mon Philippe. J’aime ce goût acre, fort, j’avoue avoir besoin de ma dose de sperme.
Nous avions nos habitudes. Cela commençait au réveil. En général, je me réveillais avant lui. Alors que moi j’ai l’habitude de dormir nue, lui porte presque toujours un pyjama. Avec d’infinies précautions, pour qu’il ne soit réveillé qu’avec la montée de la jouissance, je descendais le pantalon du pyjama et je prenais son sexe en bouche. Je commençais par titiller son gland avec ma langue, avant que mes lèvres ne se serrent autour de sa verge et que je le prenne bien au fond de ma bouche. A ce jeu-là, nous avions nos rituels. Soit il faisait semblant de dormir, jusqu’au moment de jouir, en m’envoyant de puissantes giclées dans la gorge. Soit il me tenait la tête et baisait ma bouche le plus profondément possible, la dimension de sa queue faisant que je ne risquais pas de m’. Il accompagnait cela de mots d’amour et aussi de paroles plus hard, car il sait que j’aime être traitée comme une chienne.
• Oh mon Olga, c’est divin. Un jour tu me feras mourir dans ta bouche !
• J’adore te pomper, te boire. Je voudrais passer la journée entre tes jambes
• Tu es une experte. Je voudrais te voir sucer plein de belles queues
• Tu aimerais me transformer en pute, mon vicieux !
• Oh oui, j’aimerais vendre ta bouche, ta chatte, ton cul
Je gobais ses couilles bien remplies, puis reprenais ma fellation, bien décidée à le faire venir pour avoir ma première dose de sperme de la journée. J’accompagnais ça bien souvent d’un ou deux doigts dans son anus, lui disant que moi, mon fantasme, c’était de le voir, devant moi, se faire casser le cul par un mâle bien membré.
• T’aime ça, hein petit pédé, que je te doigte le cul ?
• Oh oui, un jour on partagera un amant. Oh, Olga, mon amour, je vais gicler dans ta bouche !
De mon autre main, je triturais mon bouton et finissais par obtenir ce que je voulais, à savoir qu’il m’envoie sa purée au fond de la gorge. Je ne le libérai qu’après avoir bien nettoyé sa queue.
Ensuite seulement, je consentais à ce qu’il s’occupe de moi, me caresse, me couvre de baisers et, ayant déjà joui, il m’achevait en me godant ou me fistant.
Je ne me contentais pas de cette première pipe du matin. En journée, je profitais de trajets en voiture pour satisfaire mes envies.
• Tu es insatiable, Olga. On va avoir un accident.
• Tu es à moi, Philippe, et en particulier ta queue. Elle ne me remplit pas autant que j’aime, mais comme elle est bonne à sucer ! J’adore ton jus de mâle, je ne m’en lasse pas
• Tu me transformes en homme objet. Et ces gens qui matent, ça ne te gêne pas ?
• Au contraire, ça m’excite, pas toi ?
• Oui, les mecs doivent être jaloux. Ouvre ton chemisier, exhibe-toi !
• Ils aimeraient être à ta place !
• Le gars à côté, il se branle. Ce que j’aimerais c’est qu’on s’arrête au prochain parking et qu’il te nique
• N’y compte pas !
Dans les réunions, dans les soirées, j’entrainais Philippe dans les toilettes, dans les lieux sombres, toujours avec le même objectif, la fellation que j’ai tant pratiquée avec Philippe.
Un jour, en fin d’après-midi, nous nous étions arrêtés sur un parking pour que je puisse pomper Philippe. Nous pensions le lieu désert. Des routiers avaient remarqué notre voiture, d’autant que Philippe m’avait demandé de me mettre nue. Tout occupée à m’occuper de lui, je n’avais pas vu ces hommes s’approcher de la voiture, sortir leurs queues, se branler. Philippe ouvrit les fenêtres. Je sentis soudains des mains sur mes seins, des doigts chercher ma chatte.
• Chérie, regarde ces belles queues ! Elles bandent pour toi, elles sont pour toi. Branles les, suces les. Je veux que ces mâles te baisent. Sortons de la voiture !
• Non, Philippe, je t’ai déjà dit que je ne voulais pas !
• C’est dommage, mon Olga, ces Messieurs ont de quoi te satisfaire et tu sais que j’adorerais ça. Mais nous le ferons quand tu seras prête. Les gars, vous pouvez gicler sur elle, mais pas plus !
Je n’ai pas protesté et ces hommes se sont branlés, m’envoyant de puissantes giclées de sperme sur les cheveux, le visage et les seins. Philippe a pris soin d’étaler soigneusement sur mon visage et mes seins la trace de la jouissance de ses inconnus, avant de me faire lécher ses doigts. Il savait qu’à force de patience il finirait par parvenir à ses fins.
Il ne savait pas qu’il lui faudrait encore des années pour y parvenir. Une chose était certaine : notre amour était profond et fusionnel. Et nos relations de couple étaient tout, sauf classiques. Elles étaient marquées par mon vécue d’hypersexuelle, que j’essayais de contrôler. Par son fantasme jamais réalisé de candauliste.
Nous avons poussé au plus loin toutes les expériences, sans que je franchisse (encore) l’étape qu’il attendait tant, celle où je m’offrirai à un mâle devant lui. Il faut bien avouer que c’est moi qui étais à l’origine de nos débordements.
C’est moi qui ai poussé Philippe à ce que nous ayons des relations sado-maso. J’étais venue avec un fouet et j’ai exigé qu’il m’attache, nue. Amoureux fou de moi, il ne voulait pas me faire mal.
J’ai exigé :
• T’es un homme ou une lavette ? je te dis d’y aller, j’en ai envie.
Il m’envoya un petit coup, ridicule. J’étais furieuse :
• Tu n’es pas fichu de me faire jouir avec ta queue, alors fais ce que je te dis, vas-y, qu’est-ce que tu attends ? Tu vas faire ce que je te dis !
Cette fois c’est un coup violent qui partit, la lanière atteint même mon sein. La douleur fut vive, mais je sentais en même temps que ça m’excitait, que j’aimais ça.
A force de le pousser, mes fesses étaient bien rouges et il fallut plusieurs jours pour que les traces disparaissent de mon dos. Et surtout, lui, comme moi, avions joui sans nous toucher. Depuis ce jour, nous n’avons cessé de développer ces jeux SM.
Je les pratiquais aussi sur Philippe, griffant au sang son dos ou lui laissant des traces bien visibles de mes morsures ou de mes suçons. J’ai beaucoup choqué une de ses amies, qui avait aperçu une telle trace dans le cou de Philippe. Je lui ai dit, d’un air de défi :
• Philippe est à moi, ma chère. Je marque mon territoire. D’ailleurs, dis-je en posant ma main sur la braguette de Philippe, tu vas nous excuser un instant, je vais avec mon homme dans les toilettes, j’ai envie de lui vider les couilles, j’adore avaler son foutre.
J’ai pris Philippe par la main et nous nous sommes dirigés vers les toilettes hommes, laissant notre interlocutrice ébahie.
Je ne perdais d’ailleurs jamais une occasion de montrer à ses amis que Philippe était non seulement mon homme, mais mon objet sexuel, mon sex toy, toujours à ma disposition quel que soit le moment ou l’endroit.
Une autre fois, j’ai commencé à mettre ma langue dans l’anus de Philippe, puis à y introduire un, puis deux doigts.
A son érection, j’avais compris que j’avais visé juste.
• Oh chérie, tu me tues !
• Je savais que tu étais un petit pédé, mon chéri. Un jour un mâle t’enculera devant moi !
• Je le ferai mon amour, mais tu sais à quelle condition, que tu te fasses d’abord baiser devant moi.
• Pas question, mais moi j’ai bien l’intention de te casser le cul et tout de suite
J’avais pris un de mes godes et je le pointais contre son anus. J’avais lubrifié le gode avec de la vaseline.
Philippe hurlait de douleur. Je le calmais en le branlant et en le prenant en bouche.
• Chérie, tu vas me mutiler. Non ! Ouiiii vas-y, j’aime ça.
• Je le savais. Tu es mon homme et tu seras aussi ma femelle. J’ai apporté pour toi un de mes godes à ceinture que j’utilise avec mes maîtresses. Je vais te prendre ! Mets-toi à 4 pattes, femelle.
Philippe s’est positionné et je l’ai pris en levrette, sans ménagement.
Je l’ai besogné un long moment, bien au fond de ses entrailles.
Il couinait de plaisir.
• Oh mon Olga, mon amour, oh que c’est bon, je suis à toi, tu peux faire de moi tout ce que tu veux. Casse moi le cul, oui comme ça, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Nous avons renouvelé cela fréquemment et, très rapidement je me suis munie d’un gode à double pénétration, afin que je puisse me baiser pendant je sodomisais mon chéri.
Je n’imaginais pas à ce moment-là que j’avais dépucelé Philippe le préparant ainsi pour les étreintes futures avec mes amants.
Pendant toute cette période, nous n‘avions, ni lui, ni moi, ni amant ni maîtresse. Nous étions absolument fusionnels, amoureux fous, mais nos relations n’étaient pas « normales ». Elles reposaient principalement sur la fellation, le fist fucking, les relations SM, la sodomie (aussi bien de sa part que de la mienne), plus rarement sur des accouplements plus « classiques ». Philippe se montrant d’une tendresse absolue. J’’étais heureuse, malgré une réelle frustration de ne pas être baisée comme j’en ressentais le besoin. J’étais convaincue d’avoir trouvé un nouvel équilibre et d’avoir maîtrisé mon hypersexualité, c’est-à-dire les dérives qui me gouvernaient depuis l’âge de 15 ans.
C’est alors que nous avons décidé de nous marier, en juin 2003. J’avais alors l’ancienneté minimale pour prendre un congé sans solde et rejoindre en France l’homme avec qui j’avais décidé d’unir mon destin.

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